Thursday, February 01, 2007

Présentation de différents F1
















Voici un apreçu de différents casque F1 plaques armoiries :










Paris - Strasbourg - Monaco - Lyon - Bordeaux










Friday, September 01, 2006

Liens sites collections

http://perso.orange.fr/collection-pompier-laxou-54/index.html


http://collectionpompiers06.free.fr/casquesFr.php3


http://pompier-collection.site.voila.fr/

Wednesday, August 16, 2006

LE CASQUE F1 EVOLUTION


Le casque F1 Evolution ( texte de Marc LE GUELAFF SPP au Centre de Secours de Versailles )
Le F1 E : c'est la dernière et toute nouvelle version du casque F1 commercialisée depuis le début del'année 2001 par la sociétéCGF GALLET; certains sapeurs pompiers l'utilisent déjas ( S.D.I.S des Yvelines ). Attention le F1 E, ne remplace pas le F1 S ( standard ), il est simplement conçu pour les tours de tête plusfort. Il a évolué avec la technologie de l'an 2000 et a reçu de nouveau équipements.Le projet du F1 E débute en février 97 : en 1999, après 2 ans de pré étude, naît une première maquette avec une coque plus largeet plus haute que le F1 S. Les équipements pour l'intérieur de la coque sont étudiés, et en octobre 99 une pré sériede 200 casques sort de l'usine CGFGALLET. Après homologation de l'UTAC et avant le lancement des nouveaux casques certains d'entre eux sont testés pardes sapeurs pompierscivils.En fonction des essais sur le terrain certaines remarques sont transmises et prises en compte par les ingénieurs dubureaud'études GALLET. C'est ainsi que les dernières modifications sont apportées. En 2001 la chaîne de fabrication et la commercialisation sont lancées. Quels sont ses nouveaux équipements : - Un système de réglage rapide du tour de tête appelé " ratchet " qui améliore nettement le maintient ( système adaptable dans la coque du F1 S ). - 2 hauteurs de réglage pour le bandeau de tête qui procure un meilleur confort.- L'écran facial est, soit ouvert soit fermé ( il ne tombe plus en courant ). - Une jugulaire trois points avec attache rapide pour une meileure répartition du poids. - 3 positions de réglage pour la tension du masque ARI, amélioration de l'étanchéité. - Le tout est conforme à la norme européenne EN 443.F1 Standard Tour de tête De 53 à 60 cm Poids 1.350 kg Hauteur 24 cm Largeur 22 cm Profondeur 19 cm F1 Evolution Tour de tête De 58 cm à 65 cm Poids 1.580 kg Hauteur 25 cm Largeur 26 cm Profondeur 22 cm Le F1 E est disponible dans les mêmes couleurs que le F1 S et dispose des mêmesoptions : lampe de casque, bavolet et système de communication..... Après le F1 S, le F2, le F1 SA, et le fire knight, le F1 E est le 5éme modèle de casque conçuet fabriqué par la société CGFGALLET ( devenue depuis peut la société MSA GALLET ) pour la protection de tête des sapeurs pompiers.Le bureau d'étude travaille depuis début 2000 sur son 6 éme casque : Un casque multi fonctions nommé HPS qui serait composé de plusieurs coques permettant aux sapeurs pompiers defaire leur choixde protection par rapport à la nature de l'intervention. A suivre!

CASQUE F1 SUITE PHOTOS

essais d'étanchéité du F1


Suite au dernier post concernant l'historique du casque F1 voici deux autres photos de prototypes, sur la photo couleur ci dessous, le casque F1 dans sa phase de conception prend sa forme définitive.




Monday, August 14, 2006

LE CASQUE F1





1
Quel pompier du monde ne connaît pas aujourd’hui le casque des sapeurs pompiers français ? Présenté au moment de sa création comme l’équipement de tête de l’an 2000, ilest le symbole même du technicien du risque du 3e millénaire. Le succès fulgurant qu’il a connu n’est pas le fruit du hasard. Fruit d’un long travail de recherche voici son histoire. Réalité sur un projet de rêve. Les sapeurs – pompiers de Paris sont équipés depuis 1933 d’un casque en acier inoxydable légué par nos augustes poilus des tranchées. Ce casque dit maintenant « de tradition » a rendu de fiers services aux sapeurs – pompiers,qui ont pu grâce à lui garder la tête haute dans bien des interventions. Les transformations du tissu urbain ( apparition des tours et des grands ensembles ) et l’augmentation des potentiels calorifiques,ont profondément modifiés la nature et la complexité des feux. Dès les années 60, et deplus en plus ensuite, le pompier a dû affronter le feu dans des espaces confinés. La brigade se devait alors de s’adapter à l’évolution des risques. Plusieurs décennies de pratique sur le terrain ont permis de mettre en lumière les avantages et les inconvénients de ce casque en inox face à cette nouvelle race d’incendie. Il assure parfaitement la protection de la partie supérieur de la tête, jusqu’au plan des yeux, contre les chocs et les projections.Par contre, un certain nombre de fonctions importantes ne sont pas assurées par cette coiffure déjà ancienne.Elle manque de stabilité, présente une isolation thermique moyenne et peut conduire l’électricité. De plus, il faut retirer le casque pour mettre en place un appareil respiratoire isolant ( ARI ).



2
Première étude 1978-1980 Les premières études effectuées par la Brigade ont fortement intéressé les unités chargées de la sécurité au sein de l’arméede terre, de l’air, et de la marine. C’est pourquoi, en 1978 la Direction des recherches études et techniques ( DRET ) de la Direction générale de l’armement ( DGA ) commande une recherche concernant l’élaboration d’un équipement de tête pour le personnel d’intervention contre l’incendie. Par l’intermédiaire de la Direction centrale du génie ( DCG ), la Brigade pilote l’étude. Recherche préliminaires. Les études sont entreprise dès 1970, sous le commandement du général Perdu commandant la Brigade.Le but est de trouver les amorces d’une solution pour la mise en service d’un casque offrant plus de protection.Le chef du bureau d’étude de l’époque est chargé de l’étude puis de la réalisation d’un nouvel équipement de tête pour les sapeurs – pompiers. L’adoption des casques étrangers en service ne semble pas être une solution envisageable puisqu’ils sont eux aussi pour la plupart des adaptations de casques de combattants des derniers conflits. Certains sont encore en liège,en cuir bouilli, en cuivre ou également en inox. Ils ont été généralement améliorés par l’ajout d’accessoires comme le couvre – nuque ou la visière pare- flamme. Seul le casque Mispa ( Italie ) semblait convenir mais des essais effectués en 1972 l’écartent définitivement de la compétition. Ces résultas sont confirmés par expérimentations de la sécurité civile ( bureau des étudeset de la recherche ) en 1976. L’ambition de la Brigade est de créer le casque de l’an 2000 qui sera un équipement de tête moderne et performant. Il doit être une innovation technique et ergonomique, tout en restant fidèle à l’esthétique du casque inox qu’il remplacera. Les projets vont dans le sens de la création d’un casque de type modulaire. Le module de base est une coque protégeant la tête des chocs multidirectionnels et des projections de solides ou de liquides. Il est possible d’y ajouter certains modules annexes tel un système respiratoire intégrable, une protection contre les flashs thermiques,un système de communication phonique et un dispositif d’éclairage. Cette conception présente l’avantage d’allier une meilleur protection et une souplesse d’utilisation pour un prix modulable. Première étude 1978-1980 Les premières études effectuées par la Brigade ont fortement intéressé les unités chargées de la sécurité au sein de l’armée de terre, de l’air, et de la marine. C’est pourquoi, en 1978 la Direction des recherches études et techniques( DRET ) de la Direction générale de l’armement ( DGA ) commande une recherche concernant l’élaboration d’un équipement de tête pour le personnel d’intervention contre l’incendie. Par l’intermédiaire de la Direction centrale du génie ( DCG ), la Brigade pilote l’étude. Forte des connaissances acquises grâce au travail de recherche déjà réalisé par le bureau études générales ( BEG ), elle devient le conseiller technique de l’étude. Les sociétés répondant à l’appel d’offre sont Fenzy, qui possède une compétence particulière dans le domaine des appareils respiratoires, et l’Association d’étude pour les applications des oscillations mécaniques ( ADOM ), qui se charge du problème de la perception de l’environnement par le porteur du casque.En juillet 1979le prototype n°1 ( photo ci-dessus ) est présenté. Il est décidé de le mettre à l’épreuve au sein de la B.S.P.P. Les 2e ,9e , et 28e compagnies d’incendie en sont dotées. Un an plus tard, les résultats de l’expérimentation sont présentées par la Brigade, qui juge que le casque n’a pas apporté de réponses satisfaisantes aux objectifs fixés. En effet, l’idée de l’équipement modulaire a été abandonnée par les sociétés.Elles ont intégré les modules et créé un casque aux fonctions de protection, d’éclairage et de communication. La collerette protégeant la nuque est jugée trops fragile. La protection contre le flash thermique est constituée d’unevisière de casque bulle peu pratique. La complexité d’utilisation et d’entretient vient s’ajouter au coût trops élevé par rapport à celui ducasque en service. L’étude et alors reconsidérer fin 1980. Seconde étude 1981- 1982. Dés janvier 1981 et sous l’impulsion du général Coupez, la B.S.P.P poursuit seule ses recherches par l’intermédiaire du BEG et met au point un cahier des charges adapté à ses besoins. Il s’agit de concevoir et de réaliser un équipement de protection de tête, assurant les fonctions d’efficacité ( visibilité, audition des bruits ambiants et messages radios, possibilité d’effectuer des efforts prolongés sans gêne ) et de sécurité ( protection contre les chocs, le feu, l’ambiance chaude, l’eau et l’humidité,sécurité respiratoire en ambiance toxique ou enfumée ). Celui- ci sera composé d’un module de base ( casque ) auquel on pourra adjoindre des éléments amovibles pour les diverses fonctions. Le détail du cahier des charges définitun concept de casque résistant et économique. Le casque se rapprochera de celui des pilotes de l’armée de l’air, avec une visière transparenterétractable. La coiffe se divisera en deux parties. La première assurera le positionnement du casque et l’amortissement des chocs verticaux et latéraux. La seconde, composée d’un ensemble de sangles empêchera l’arrachementdu casque dans toutes les directions. Le masque sera un modèle standard d’ARI dont les sangles de maintien auront été remplacées par des arceaux semi-rigides réglables en tension et fixés à l’arrière du casque. Dès 1981 sont ainsi définis les concepts novateurs de ce qui deviendra le casque F1 quatre années plus tard. En mars 1982, la DRET finance un second contrat en s’appuyant sur les résultats obtenus par le BEG. La Brigade aide la direction générale pour l’armement en entretenant une collaboration technique active avec les sociétés impliquées. La société Adom reste chargée de la restitution d’ambiance. La société Fenzy cherche un sous traitant pour fabriquer des prototypes du casque. Unappel d’offre lancé par la Brigade met en lice trois société. La société Dunoy, fabricant de casque en acier, la société Guéneau mettant au point des casques de pilotes de chasse et la société Gallet et fils spécialisée dansles casques de moto. Le choix s’oriente vers la société Gallet qui semble présenter la plus grande capacité de répondre aux contraintes techniques présentées par le cahier des charges. Dès juin 1982, la société Gallet et Fils n’adhère pas aux méthodes de sous traitence de la société Fenzy et se désengage de son partenariat. L’étude est continuée hors marché d’Etat sousla houlette de la BSPP. La direction de l’étude et la résolution des problèmes techniques sont assurées par le BEG. La société Gallet assure quand à elle le financement de l’étude et la fabrication du casque. Le travail en liaison parfaite entre le BEG et la société Gallet, permet de sortir le prototype n°2 ( photo ci- dessus ) en décembre 1982. Janvier 1983 est un mois faste dans la mesure ou la commission d’étude des matériels de protection contre l’incendie des armées retient les résultats de l’étude du BEG comme base du futur équipement des pompiers militaires.La Brigade commence alors la présentation des prototypes aux groupe d’étude de la Fédération Nationale des sapeurspompiers français.


3
Troisième étude 1983-1985. Durant l’année 1983 un troisième contrat de la DRET, cette fois- ci passé directement avec la Brigade,aboutit à la mise au point de quatre prototypes successifs ( 3, 4, 5, et 6 ). Les essais d’étanchéité du masque d’ARI sur le casque sont effectués dans un laboratoire du BEG construit pour l’occasion.C’est en janvier 1984 qu’est décidée la mise en service du prototype n°6. Cet essai en grandeur nature porte sur 1800 casques de présérie produits dans les usines de la société Gallet. Dès mars 1984 un défaut au niveau de la résistance du revêtement métallisé est mis à jour. La société Gallet est contrainte de retirer les casques mis en circulation et de réviser sa copie.Plutôt que de classer ces ratés au chapitre des pertes, Adien Gallet à l’idée de découper un trou rond au sommet des casques et de les transformer ainsi en seau à champagne ! Le succès est tel qu’il doit envisager de continuer la production de ces seaux originaux. A peine quelques mois après cet incident, Gallet crée un nouveau revêtement à base de Baybiend nickelé par galvanoplastie. Les essais sont concluants et la 1er compagnie reçoie la première dotation de casques en aout 1985. Le casque est essayé et adopté. Il est baptisé F1, non pas à cause de son air de famille avec les équipements de course automobile,mais parce qu’il fait partie intégrante de la nouvelle tenue de la Brigade : la tenue SPF1. Le casque F1 est une révolution en matière de protection de tête. Seul casque de pompier semi- intégral,il représente le nec plus ultra en matière de protection contre les chocs, le rayonnement et les projections. L’équipementrespiratoire adapté au casque est une innovation permettant une facilité d’utilisation et assurant une meilleure étanchéité de l’ARI. Sortit toutdroit des rêves des pompiers de Paris, le casque F1 n’a pu être réalisé que grâce à la collaboration étroite de la BSPP, de la DRET et des diverse sociétés sous traitantes, notamment Gallet et Fils. Cette entreprise a su aller de l’avant et réaliser le gros des investissements nécessaires à l’aboutissement des recherches. Elle a pris le risque de se lancer dans cette aventureen sachant s’adapter à l’exigeant cahier des charges établi par le BEG. Comme le disait Adrien Gallet, le casque F1 a « unpère, le colonel Legendre, et un parrain, le général Coupez ». Histoire d’une naissance ( rappel des principal dates ). 1970 : Le général Perdu, commandant la Brigade, décide d’effectuer des recherches en vue d’améliorer le casque mis en service en 1933.1971 : Essais non satisfaisants sur matériaux, modification de la coiffe. 1972 : Les essais du casque Mispa ( Italie ) ne répondent pas aux exigences. 03/1978 : La Brigade devient conseiller technique d’une étude conduite par la DRET. 07/1979 : Sortie du prototype n°1 qui est mis à l’essai au 2e – 9e – et 28e compagnie d’incendie.09/1980 : Résultats et critiques de l’essai : le casque se relève trop fragile, complexe et coûteux.01/1981 : La BSPP poursuit seule ses recherches par l’intermédiaire du BEG qui met au point un cahier des charges regroupant les solutions adaptées à ses besoins. 03/1982 : La DRET finance un second contrat en s’appuyant sur les résultats obtenus par le BEG. La société Adom est chargée de la réstitution d’ambiance, la société Galletet la sociétéFenzy ont en charge la fabrication du casque. 06/1982 : Désengagement de la société Gallet en tant que sous traitant de Fenzy. L’étudeest continuée hors marché d’Etat sous la houlette de la BSPP. Les conseils techniques sont assurés par le BEG. La société Gallet finance l’étude. 12/1982 : Naissance du prototype n°2. 01/1983 : La commission d’étude des matériels de protection contre l’incendie des armées retient les résultats de l’étude du BEG comme base du futur équipement des pompiers militaires. Présentation des prototypes aux groupes d’étude de la FNSPF. 1983 : Troisième contrat de la DRET aboutissant à la mise au point de quatre prototypes successifs ( 3- 4- 5- et 6 ). 01/1984 : Mise en service de la présérie n°6. C’est un essai en grandeur nature portant sur 1800 casques. 03/1984 : Retrait des 1800 casques déjas produits car le revêtement ne tient pas l’épreuve du feu. 08/1985 : La première compagnie reçoit l première dotation de casques.

Sur ma prochaine page d'autres photos des différents prototypes du F1.

Tuesday, August 08, 2006

le casque modèle 1885


Le casque modèle 1885 déscription. ( Photo casque 1885 1er modèle BSPP avec plaque inscription sapeurs pompiers de Paris, plumet de la musique ).La bombe : entièrement en laiton, est emboutie d'une seul pièce, la visière et la nuquière sontsoudées à l'étain à l'intérieurde la bombe. Le cimier : ( hauteur courante : 28 mn environ ) est indépendant de la bombe à laquelle il est solidement fixéau moyen devis en laiton 8 vis apparentes sur certains modèles ou par deux vis à l'intérieur de la bombe pour d'autresmodèlestout comme le casque modèle 1895. La partie avant du cimier est décorée d'une grenade,sur certains modèles des petits trous d'aérationsont percés autour dela flamme de la grenade. L'arête supérieur du cimier est renforcée par un jonc pour en augmenter la solidité. Plaque attribut : Cette plaque en laiton avec en son milieu le plus souvent une grenade ou un bûcher, est fixée par une vis laitonsoudée àl'étain au dos de la plaque ( certains modèles de plaques ont deux vis placées latéralement )traverse la bombe par un troupercé au centre sur le devant du casque et reçoit à l'intérieur un écrou plat,carréde 7 mn de côté. Certaines commune apposées à la place de la grenade sur la plaque,leurs armoiries. Porte plumet : Placé du côté gauche du casque, en laiton d'une hauteur de 35 mn est conique ( plus large en haut qu'enbas )fixé à l'aide de deux vis laiton soudées au dos du porte plumet qui reçoivent chacune un écroucarré de 7 mn de côté. La visière et la nuquière sont bordées d'un jonc en laiton sur tout leur contour.La nuquière comporte quelquefois la marque du fabriquant ( soit gravée, soit une petite pièce ovale soudéeà l'étain ). Coiffe : L'intérieur de la bombe contient une coiffe en basane noire à sa base est cousu un bandeau de feutre ou de cartonqui seratraversé par deux,trois, ou quatre lamelles de laiton soudées à la base intérieur de la bombeet se repliant à l'intérieurdu bandeau.La coiffe est découpée en dents de loup au nombre de huit.Chacune d'elles porte à sa pointe un oeillet permettant le passage d'un lacet pour serrer la coiffe à volonté.Jugulaire : En cuir de veau ou de vache verni, d'une épaisseur de 1,5 mn et d'une largeur de 15 mn elle mesure d'un côté370 mn et 115mn environ de l'autre ( ce dernier côté est muni d'une boucle en verni noir ).Elle est fixée à l'intérieur de la bombe à hauteur des oreilles à deux étriers enlaiton soudés à l'étain. Le casque pèse environ 0,650 kg. Le plumet peut être apposé selon le port de la tenue de parade.

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Bonjour et bienvenue aux collectionneurs du patrimoine Sapeurs Pompiers.
Cet espace , permettra aux différents collectionneurs d'échanger, informations et autres renseignements sur l'historique des casques de Sapeurs Pompiers Français , mais aussi Etrangers.

Pour ma part je suis collectionneur depuis plus de dix ans maintenant.
Après avoir collectionné en plus des casques de Sapeurs Pompiers Français , de nombreux casques de divers Pays, j'ai recentré ma collection sur 2 thèmes uniques :

Les casques de Pompiers Français
Les casques F1 tout Pays confondus et principalement ceux avec armoiries de villes.

Voici donc mon blog ouvert , celui ci va bien sur évoluer au fil des jours , merci par avance à tout ceux et celles qui y laisseront des commentaires.